Après la pluie du samedi, et même des dernières semaines, le mauvais temps et même la pluie du dimanche. Un petit peu d'espoir, de motivation, pour non pas aller voter pour le Kapital ou son Épouvantail, mais aller en balade.
Eh bien nous avons rencontré le Kapital et l’Épouvantail qui ont fusionné. La cascade de la Doriaz nous avait charmé, l'été dernier (comparez). Aujourd'hui, nous l'attaquons depuis le haut, par le col de la Doriaz, et non plus par Lovettaz. On l'entend du Col! On longe les falaises mais pas de tichodrome en vue.
Un moindre ruisseau nous barre la route. Contournement en contrebas du sentier. Et bientôt, le brouhaha se fait grondement et tonnerre, tumulte et fracas, bruit et fureur. Au détour d'un lacet, la forêt apparaît barrée d'un si large drap blanc... Iléou le petit torrent?
Sur le pont, c'est impressionnant. Le souffle de l'Histoire. Ah bah oui, carrément! il parait que Macron est le nouveau Messie. D'ailleurs, il n'a pas attendu pour apparaître sortant des ténèbres vers la Lumière pyramidale. Et PAF! la lutte des classes.
Bon. Nous sommes à notre spectacle, et montons au trou de la Doriaz, le spectacle est grandiose mais le père Macron avait réservé toute la Lumière, et le Soleil ne se dévoile pas à nous. Dommage!
Impressionné-e-s! et sonné-e-s.
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