Afficher On pense avec les pieds sur une carte plus grande

dimanche 25 septembre 2016

Week-end dans la Loire

On change de crèmerie. Exit le Beaufort, place à la Fourme! Nuit au Moulin de la Roue, très joli cadre, très bon accueil, très bonnes tagliatelles aux cèpes (et ils sont où les cèpes? on veut de la pluie!).

Château d'Urfé

Château d'Urfé - Monts de la Madeleine

Samedi, petite halte à Champoly pour grimper au Château des Cornes d'Urfé. Petite balade forestière bien agréable, agrémentée de quelques mûres succulentes. Le Château est encore tout pimpant rutilant même en ruines, et la montée au sommet du Donjon offre un panorama juste partiellement caché par le sommet forestier au sud. Monts du Lyonnais, Pilat, les Alpes (quand il n'y a pas de brume), et de l'autre côté, Puy de Dôme jusqu'aux Monts de la Madeleine. 

Faisan s'enfuyant

Dans la descente, quelques digitales pourpres tiennent encore le coup. Un faisan veut montrer qu'il court plus vite que nous. Promenade très paisible.


Le coq chante à tue-tête à 7h du matin. Le temps de se préparer, petit réveil dans la campagne encore endormie, au contraire des chasseurs qui, eux, y vont gaiement. Un petit écureuil se ravitaille, les oiseaux s'envolent. Et la caravane passe.

Réveil campagnard

Et puis, nous voilà partis vers le Fleuve. Au Pêt d'âne! Drôle de nom. Mon idée est que ça vient de pâturage. Enfin bon... 

Grand Méandre de la Loire

Superbe vue plongeante sur la Loire, et courte balade d'1h avant le pique-nique, entre champs et bois, avec en prime une petite descente au Fleuve. 


Automne
Et remontée en voiture vers Roanne, avec un petit tour du village médiéval du Perreux et une halte sieste au lac des Sapins.

Homard ligérien

dimanche 11 septembre 2016

Croix du Nivolet

Et on termine les vacances par le passage obligé par la Croix du Nivolet. Un véritable autoroute, que de monde, sans surprise... 


Nous évitons toute difficulté en partant du Sire, un petit pré à monter, et un parcours de crête boisée bien agréable par ces chaleurs. Vue brumeuse mais qui vaut évidemment le détour...


Croix du Nivolet 11 septembre 2016

samedi 10 septembre 2016

Lac de la Thuile

Petite balade cet après-midi, avec le tour du lac de la Thuile, encaissé dans les premiers reliefs baujus ; et tout mignon. Beaucoup de monde, baignades, pêche, bateaux gonflables, tutti quanti...



Les arbres prennent ça y est leurs couleurs d'automne. Magnifiques forêts à explorer pendant un mois. Et voilà les châtaignes, les bolets, etc.


Lac de la Thuile 10 septembre 2016

vendredi 9 septembre 2016

Grand Roc – Col de la Masse

Maurienne jour 2. Nuit rocambolesque sur le parking du refuge de l'Orgère, avec pour objectif le col de la Masse pour le lendemain. Il y a un peu plus d'un an, j'avais fait d'ici le Râteau d'Aussois, un de mes meilleurs souvenirs de randonnée, avec notamment un festival animalier jamais vu.


Il faut partir tôt pour rééditer la chose. 7H15. Ça va. Un randonneur est parti 45 minutes plus tôt, mais peut-être vers la Partie, ou peut-être passera-t-il sans faire fuir tout le monde. On verra.


Après quelques pas plats qui amène au fond du fond, l'Aiguille Doran s'allume orange, jaune plus tard. Comme l'an dernier. Sur les pentes à gauche, un bouquetin passe paisiblement et remonte. C'est parti.


C'est parti également pour la montée, quasiment 1000m de dénivelé sur un bon sentier et de jolis lacets. Des biches bientôt, ouvrent le bal. Deux, quatre, six, plein. Comme l'an dernier. Les marmottes sifflent sans discontinuer. On monte on monte, et voici les chamois, qui sont là, comme l'an dernier. Partout des chamois !


On poursuit. Que d'animaux encore !... Je me retourne et observe la crête où les dernières biches disparaissent. C'est là que les cerfs étaient apparus l'an dernier. Ils ne sont pas là cette année... Tiens, deux chamois observent le spectacle, depuis la crête. Et voici un cerf ! Puis un deuxième, troisième... au total une bonne dizaine...


Moi qui pensais avoir vu une scène improbable l'an dernier, la même exactement cette année. Ils doivent faire ça tous les matins, les cons ! C'est Gégé, le coach sportif du groupe, qui officie. Allez les gars, comme mise en jambes, on fait le tour des crêtes ! Une, deux, une deux une deux. Et les autres qui suivent ; et, les derniers, les fumeurs, qui veulent lui faire bouffer son tour des crêtes matinal. Les plus niais se lamentent sur leur sort : « j'aurais jamais du manger autant de framboises hier » ; « depuis qu'on nous vend des myrtilles OGM, je me sens lourd » ; « j'en peux plus mais c'est bon pour mon cholestérol ». Tous les matins ! C'est une féerie pour chaque fois.


Bon. Un couple d'alpinistes nous rejoint là, ils vont faire l'Aiguille Doran, chapeau ! Et s'étonnent de voir ces cerfs aussi haut. Allez, on reprend la route. On arrive chez les bouquetins, qui ne sont pas là. Le replat permet de souffler un peu, le Soleil nous gagne, changement de tenue, et observation de la Masse, toute bizarre plantée là. Dernières pentes avant le col...


Au col à 11h30, petite pause restauratrice, et je me déleste du sac pour partir à l'assaut du Grand Roc (3316m), pour changer du Râteau d'Aussois. Banzaï. Du col, ça a l'air d'être un beau morceau, quand même ! Faut atteindre le fameux « collu » affublé d'un névé qui persiste. J'y monte vite sans y aller à fond, tranquille, et observe les bouquetins en contrebas – ils sont là, tranquilles eux aussi.


Sous le « collu », la pente se raidit en même temps que le terrain s'émiette et devient glissant. C'est plus dur. Mais voici le névé. La vue sur le Mont Blanc est saisissante. Les dômes de la Vanoise sont dans les nuages, mais les glaciers resplendissent. Le sommet du Grand Roc est là à gauche, juste au-dessus mais protégé par d'impressionnants blocs. Petit tour à droite : vue plongeante vers le Plan d'amont qui vaut le détour. Sur le flanc de montagne, une ombre m'interpelle, une marmotte crie, je lève la tête, un rapace vient de décoller. Ce n'est pas un vautour... est-ce le gypaète du coin ? Je crois bien que oui... il passe au-dessus du col de la Masse et va droit vers l'Aiguille Doran où il se pose.


Bon... j'attaque le sommet, facile et amusant à gravir, avec tout de même l'appréhension de voir un de ces monstrueux blocs bouger. Il y a des chances que rien ne bougeuh. Au sommet, la Masse et l'Aiguille Doran font tout petit ! La Pointe de l'Echelle, au bout de l'arête, on se sent obligé d'y aller. Mais l'arête est impressionnante. Pas certain d'en être capable un jour...


Je descends prudemment et regagne le col de la Masse moins d'une heure après l'avoir quitté. Il est 12h30, il fait froid car un cumulus stagne au-dessus du Râteau d'Aussois. Nous descendons vers le Plateau du mauvais berger, ensoleillé pour le repas, avant le retour par le sentier-balcon en évitant de marcher sur les marmottes. Retour à l'Orgère vers 18h.


Encore une journée mémorable dans ce secteur de la Vanoise...




Grand Roc 9 septembre 2016

jeudi 8 septembre 2016

Lac du Mont-Cenis - Fort de Ronce

Deux jours « expatriés » en Maurienne... Petite balade le premier jour au lac du Mont-Cenis. L'un des plus beaux sites des Alpes si l'on en croit la rumeur. Et en effet, c'est tout joli. Même sans trop de fleurs en ce début septembre.


Nous montons tranquillement au fort de Ronce, qui servait aux macaronis à défendre leur territoire quand celui-là en faisait encore partie. Les vaches y habitent presque. Les marmottes sont de sortie. Les chocards sont en bande organisée.


Une petite crêpe aux myrtilles qui va bien, et nous descendons à la mer. C'est vraiment l'impression qui nous prend, en descendant sur cette très belle plage. Tiens, ça me rappellerait presque Merquetôt !...



L'eau scintille mais n'accueille que nos pieds et notre concours de ricochets... Et peu avant le coucher du soleil derrière les montagnes, nous délaissons le site et sa curieuse pyramide, sorte d'église franc-maçonne, qui abrite apparemment un jardin alpin.


Lac du Mont Cenis 08 septembre 2016

mercredi 7 septembre 2016

Croix de Belledonne en boucle (Lac du Loup, Lac du Crozet)

A peine rentré de notre promenade aquatique dans le Cernon, je prépare dare-dare mes affaires. L'idée est d'aller bivouaquer en Belledonne. Vu l'heure, je me laisse 2h avant la nuit. Je pense atteindre le lac du Loup, pour le bivouac, et aller à la Croix de Belledonne le lendemain.


18h quand j'arrive au Clos. Quasiment 1000m de dénivelé en perspective. Va falloir y aller ! La stratégie est simple : je pars à fond et j'accélère progressivement. Je passe tambour battant mais silencieusement (ce calme!) le refuge de Pré Mollard, la crête de Mont St Mury, et le lac de la Sitre. Envie de faire la pointe, mais il est tard. J'enchaîne vers le Col du Loup. Enfin, pas vraiment, puisque le Col n'est pas l'endroit où le sentier nous fait passer, peu importe.


19h10 : j'y suis ! Bigre ! 1h de marche et les pauses photo. Chargé du matériel de bivouac et à 18h, c'est pas mal ! La superbe crête encore magnifiée par les couleurs du soir menant à la Petite Lance du Crozet m'appellent ! Mais... mais... Mais il est tard, je veux planter la tente et manger avec la nuit. Mais le vent est trop violent. Quel con ce Venturi ! S'il n'avait pas existé, jamais le vent n'aurait eu l'idée de s'engouffrer comme ça aux cols.


Bref, je descends vers le lac du Loup, 3 pas à peine suffisent en effet à éteindre tout souffle d'air. J'ai les yeux fixés sur les Dents du Loup, grandioses de ce côté-ci (bien plus que côté Crozet). Quelques bruits de pierre, quasiment les premiers sons que j'entends. Un chamois mange sans m'attendre. D'autres se promènent sur les crêtes.


Je trouve un endroit pour bivouaquer. Vite ! Vite ! Monter la tente ! Manger ! Coucher de Soleil ! Il est superbe, par-delà le Vercors. Un randonneur est monté sur un éperon rocheux improbable, venant probablement du Crozet, et se met à hurler des choses. La dernière, je crois, est : « il fait froid ». Oui ! Duvet magique ! Quelques morceaux de Sigur Ros et je m'endors bientôt.


A minuit 37, je crois qu'un loup fait le tour de la tente. Évidemment. Bon. Je me réveille bien avant le Soleil, et je l'attends. Aux premiers rayons sur Chamechaude, à 7h15, je suis prêt à partir. Descente ! Vers le lac du Crozet. Assez bizarre, pour les jambes, de commencer par descendre. Enfin j'arrive vite au lac.


Je passe le lac, pose tente et duvet derrière un gros rocher, et monte à la Croix. La Pra, très vite atteinte, au-delà, la fatigue de la veille se fait un peu sentir. J'ai un peu de mal à monter aux Doménons, et plus encore dans le névé de la Grande Pente (il reste un peu de neige tout de même). En me retournant, j'observe un troupeau au soleil. On dirait des mouflons ?! Banco ! Ça alors ! D'où viennent-ils ? Du lac de Belledonne ?


Les dernières pentes vers la Croix seront laborieuses, malgré le plaisir de marcher dans quelques névés persistants, et entre les lacs gelés. J'allais toucher la Croix des mains, quasiment, quand 2 bouquetins apparaissent. Quelle belle surprise ! L'un d'eux vient vers moi. Je photographie la Grande Casse, et ils s'en vont, au bout de quelques minutes

9h40 au sommet. Malgré la fatigue, je suis quand même allé assez vite... J'y passe un long moment. J'avais envisagé revenir par le Pic du grand Doménon, la Grande Lauzière, les lacs de la Pra. Bon, une autre fois. Je vais pique-niquer aux rochers rouges et ça ira très bien.


Ils sont beaux ces rochers rouges. La dernière fois, ils étaient peuplés de bouquetins, pas là. La dernière fois, j'en étais descendu facilement, pas là. Mes souvenirs m'ont porté à descendre très proche des falaises. Il fallait revenir en arrière. Ce qui est fait, finalement, et sans encombres.


Dans le névé de la Grande Pente, je repère la sente qui amène au Col de Freydane puis au lac Blanc. Prochaine fois, je passe par là ! Revenu aux Doménons, j'ai l'impression d'entendre un sifflet. Plusieurs fois. Dans le secteur de la Grande Lance de Domène. Je cherche, de longues minutes, sans rien apercevoir de suspect. Peut-être ai-je confondu avec une marmotte, qui siffle en effet au passage des corbeaux.



Puis c'est la descente express : Crozet – Trois Ruisseaux. Là, il reste un peu plus de 3 km d'un sentier en courbe de niveau, très joli. Très étroit, mais très joli dans la forêt. Une passerelle donne quelques émotions. Et c'est le retours au Clos ! Fourbu ! Moulu comme dirait Don Quichotte...


Bivouac Croix de Belledonne 6-7 septembre 2016

mardi 6 septembre 2016

Cascade du Cernon

Le Cernon ! Il coule quasiment chez nous. Nous ne ratons pas une occasion d'aller y faire une petite promenade. On nous a indiqué qu'il y avait, au-delà de l'usine EDF, une cascade un peu arléésienne. Plusieurs tentatives pour la trouver se sont soldées par des échecs.


Cette fois-ci, nous y allons les pieds dans l'eau. Ah ! C'est dangereux. Mais c'est très rigolo. EDF fait varier le débit à sa guise, et pourrait donc nous emporter !... Bon. Nous remontons, tels de petits saumons.


Et nous remontons nous remontons. C'est qu'on commence presque à croire à une blague, un bizutage des nouveaux. C'est une légende cette cascade !


En chemin, quelques arbres à papillons attirent de bien jolis papillons, dont un paon du jour de toute beauté.


Pourtant, au bout d'une longue remontée, nous la trouvons. Et elle en valait la peine : superbe. Plus de soleil déjà mais nous y reviendrons plus tôt en journée...



Un petit sentier, extrêmement raide, amène au-dessus, sans que cela n'ait un intérêt démesuré. Enfin... petite baignade dans un des bassins formés par le cours d'eau... très fraîche !


Cascade du Cernon 6 septembre 2016

dimanche 4 septembre 2016

Lac de Crop

Petite promenade en Belledonne, par un temps un peu couvert. Départ en fin de matinée, avec un parking qui déborde. Il y en a du monde...


Nous étions venu alors que le lac était encore partiellement gelé, cette fois-ci il est libéré des glaces. Beaucoup de monde tout autour, et quelques personnes dedans. Le repas est perturbé par les allées et venues de l'hélicoptère des secours en montagne, qui passe 4 fois pour secourir une ou plusieurs personnes prises dans un pierrier, sans qu'on ne sache ce qui s'est passé...


Lac de Crop 4 septembre 2016

Les risques de la montagne...

jeudi 1 septembre 2016

Lacs de la Tempête

On s'éloigne un peu pour rendre visite au Beaufortain. De très beaux souvenirs là-bas, notamment les 5 lacs... Et une envie de retourner vers la Pierra Menta... Pour aujourd'hui, ce sont les lacs de la tempête qui feront l'affaire.


Arrivée peu avant 10h au barrage de Saint-Guérin, après avoir remonté les vertes prairies autour de Beaufort, bien joli village. Le site en lui-même vaut le détour. Le barrage est édifiant, et il reste quelques épilobes pour la classique photo, avec le col de la Louze en fond, notre premier objectif.


Le tour du lac est un enchantement un méli-mélo de couleurs qui se reflètent dans les eaux calmes. La passerelle « himalayenne » est amusante.


Et voici donc la montée, bien tranquille, en direction du col de la Louze, le long ou plutôt de part puis d'autre du Ruisseau de la Louze. Et en effet, le terrain est schisteux, ça donne par endroits une sorte d'argile bien glissante. Plus haut, terrain à cargneule.


Quelques fleurs encore en ce premier jour de septembre. Dont une touffe d'edelweiss ! Et des gentianes que je ne connaissais pas.


Arrive donc le col et son effet Venturi. Ça souffle ! alors que 10m à gauche 10m à droite il n'y a rien. En montant, je devine un itinéraire vers la Pointe de Riondet, qui appelle. Les crêtes ravinées qui la masquent sont superbes. Et si de la Pointe, on peut rejoindre le col de la Grande Combe, c'est fabuleux (ça a l'air d'être faisable).


Bon, là-dessus, il s'agit quand même d'aller aux lacs de la tempête. Faudra chercher l'origine de ce nom. Le premier se gagne rapidement, il est tout beau, nous y pique-niquons. Pas mal de monde, beaucoup de monde même pour ce jour de rentrée des classes.


Bref, après le repas, au cours duquel un papillon a été sorti de l'eau et des centaines de têtards remis à l'eau, nous faisons le tour du lac et allons surplomber le deuxième. Mangé par les roseaux, il est très beau. Y descendre permet de découvrir juste après le troisième, très mignon également.


Là, nous nous posons au peu au-dessus du lac. Y a une petite bosse qui me titille, je pars « 5 minutes » voir là-haut. Je n'y arriverai jamais. En chemin, je tombe, presque littéralement, sur un mouton les 4 fers en l'air. Et aucun des 6 vautours qui tournent sur ces lieux ne l'a encore repéré !... Bon... Poursuivant, je tombe sur un lac, un lac double, qui s'avère être le lac des Besaces. Il est superbe et donne envie de s'y baigner.


J'en fais le tour, et que vois-je ? Du quartz pas complètement poli. On imagine la violence nécessaire pour polir un cristal, ou un homo sapiens. La politesse n'est pas très anarchique. Bon. Ça me fait un peu grimper au-dessus du lac.


Je lève les yeux, et je constate être au pied d'un immense pierrier qui mène vers un large col dans le chaînon de Comborsier. Les 5 minutes sont déjà passées... mais c'est trop tentant. J'y cours. En chemin, de bien jolies pierres parmi les gros blocs stables très agréables à remonter.


Je m'approche du col, je m'attends à voir les glaciers de la Vanoise, les Ecrins peut-être ? Bon, les nuages cachent en partie, mais pas mal pour la Vanoise. Quelle belle ascension ! Reste à intégrer ça dans un parcours plus ambitieux...


Je descends aussi prudemment et rapidement que possible. 40 minutes de retard... Aïe. Bon. La prochaine fois, je regarde la carte avant de partir complètement à l'improviste.


Petit à petit nous remontons vers le premier lac. Pieds dans l'eau ! Pas si froide de que ça ! Allez baignade !... Que ça fait du bien. Les eaux sont d'un bleu très foncé à cette heure-ci, et il n'y a plus personne, si ce n'est un pêcheur qui plie bientôt bagages. Magique. Ne manque que la tente pour dormir sur place.


Mais là, nous descendons, dans le calme de la fin de journée où la montagne est rendue à elle-même. Retour au barrage à 20h. Bien belle journée...



Lacs de la Tempête 1er septembre 2016